dossier ville : les adultes-relais

dossier ville : les adultes-relais les dossiers ville les autres dossiers   adultes-relais un an déjà et des résultats encourageants une courbe ascendante répartition par région : peu de surprises une majorité de femmes une priorité : la concertation un impact encore difficile à évaluer a partir de janvier, un élargissement du programme questions les plus fréquentes du côté des adultes-relais : marie-christine faubert - maria aaziz - christine deris - abdelhak yassine en savoir plus, sites web, à lire, contacts   lancé en avril 2000, le programme de création sur trois ans de 10 000 postes d’adultes-relais sur les sites de la politique de la ville n’a démarré véritablement qu’au dernier trimestre de la même année. un an plus tard, un premier bilan de ce dispositif, destiné principalement à favoriser le lien social dans les quartiers et conforter la fonction parentale, s’avère encourageant. un dispositif qui va d’ailleurs évoluer en 2002 afin de permettre aux collectivités locales et aux établissements publics d’en profiter. une courbe ascendante a la mi-janvier 2002, il a été recensé 1418 adultes-relais. un chiffre qui peut paraître faible comparé aux 10 000 postes prévus. mais il ne faut pas s’y fier et ne pas considérer uniquement l’angle quantitatif, comme l’explique jérôme david, chargé de mission à la div (département insertion, emploi, développement économique). le programme, en effet, est opérationnel depuis septembre 2000, depuis que les crédits ont été notifiés aux préfets. il a fallu au départ procéder à une information auprès des préfectures. les associations de leur côté, principaux acteurs de ce dispositif, ont pris le temps avant d’évaluer l’intérêt qu’il pouvait représenter pour elles. ce qu’il faut voir, en réalité, c’est que la courbe du nombre de postes progresse nettement et régulièrement. par ailleurs, les associations étaient jusqu’ici les principaux employeurs d’adultes-relais. ce n’est plus le cas depuis janvier 2002, date à laquelle les collectivités territoriales et les etablissements publics ont pu profiter de ce programme qui, rappelons-le, a été prévu, dans sa première phase, sur trois ans. répartition par région : peu de surprises où retrouve-t-on en majorité ces adultes-relais ? dans les régions très urbanisées, ce qui n’est pas une surprise. ainsi on peut citer le chiffre de 403 pour l’ile de france avec une plus forte densité en seine-saint-denis (146), paris (120), les yvelines (39), l’essonne (24), les hauts de seine (27). dans le nord-pas-de-calais, ce sont 109 postes qui ont été créés et 89 dans la région paca avec une dominante dans les alpes maritimes. on peut mentionner encore la picardie, avec 52 adultes-relais, la moselle, 39, la meurthe et moselle, 17. dans les zones rurales, telles que l’ariège ou le gers par exemple, on ne recense aucune création de poste, ce qui n’a rien d’étonnant. en revanche, ce qui est plus surprenant, c’est le succès rencontré en guadeloupe avec 108 postes. dans les pays de loire, au contraire, à l’exception de la sarthe, le dispositif n’a pas encore percé si l’on en juge par les chiffres. en loire-atlantique, on ne recense que 3 postes alors que nantes est une agglomération importante. une majorité de femmes on ne peut dégager véritablement de tendance en ce qui concerne le type de postes créés. les adultes-relais offrent une palette de services et s’adaptent à des besoins particuliers. parmi leurs nombreuses missions, on peut citer notamment : favoriser l’accès aux services, soutien scolaire à domicile, sécurisation des transports, alphabétisation, accompagnement des personnes fragilisées, facilitation des démarches, etc. mais il est intéressant, cependant, de signaler que les postes sont occupés en grande majorité (70%) par les femmes. cela tient, semble-t-il, à plusieurs raisons et principalement à l’engagement des femmes sur le terrain. un grand nombre d’entre elles qui avaient déjà pris des initiatives, les femmes-relais par exemple, ont simplement profité d’un dispositif leur offrant un statut plus avantageux. par ailleurs, jusqu’à présent, les champs d’intervention des adultes-relais appartiennent à des domaines à priori plus féminins, comme la vie de l’enfant par exemple ou les problèmes sanitaires et sociaux. une priorité : la concertation au chapitre des difficultés rencontrées par ceux que le dispositif intéresse, l’aspect financier a pu constituer un frein. si l’etat, en effet, accorde à l’employeur 80% du coût du poste, il reste 20% à assumer. pour des associations, il n’est pas toujours facile de trouver le complément, si les partenaires du contrat de ville n’apportent pas le soutien escompté. il reste un autre écueil à signaler mais facilement évitable, c’est le manque de concertation qui peut engendrer des incompréhensions du côté des services sociaux ou des services publics. s’il y a un enseignement à tirer de ce premier bilan, selon jérôme david, c’est l’importance pour tout projet de se construire en liaison étroite avec les services sociaux qu’il s’agisse des éducateurs ou des assistantes sociales. sur un territoire bien circonscrit, pour qu’il n’y ait pas de tension, il est primordial en effet que le projet soit monté en tenant compte des intervenants déjà sur place. un impact encore difficile à évaluer il est trop tôt pour pouvoir évaluer dès à présent l’impact du programme adultes-relais sur les familles et les institutions. un premier rapport sur ce sujet permettra, dans le courant du premier trimestre 2002, d’apporter un éclairage, et des études spécifiques seront engagées dès cette année. côté adultes-relais, on peut signaler que le dispositif a l’avantage d’offrir une reconnaissance sociale à des initiatives qui jusque-là n’étaient pas toujours reconnues ou estimées à leur juste valeur. certains postes, en effet, correspondent à des projets déjà existants et auxquels le programme a donné un cadre plus stable. en ce qui concerne les familles, il semble que les missions notamment de médiation avec les services sociaux ou publics soient perçues comme indispensables voire essentielles. a partir de janvier, un élargissement du programme depuis le début de l’année, les établissements publics et les collectivités territoriales peuvent profiter à leur tour du dispositif. il est apparu en effet essentiel au gouvernement que ces collectivités et les autres personnes morales de droit public puissent également bénéficier d’un soutien de l’etat, compte tenu des besoins en matière de médiation sociale et de renforcement du lien social dans les quartiers de la politique de la ville. un texte de loi vient d’être voté et promulgué à cet effet à l’occasion de la loi de finances 2002 (article 149). ce texte de loi sera suivi, très prochainement, d’un décret et d’une circulaire qui en permettront la mise en œuvre effective dans le courant de ce premier trimestre. questions les plus fréquentes la circulaire du 26 avril précise que les personnes recrutées doivent être sans emploi. doit-on obligatoirement être inscrit à l’anpe ? je suis titulaire d’un contrat emploi solidarité (ces), suis-je considéré comme étant sans emploi ? il n’y a pas de définition administrative de la notion de “sans emploi” en particulier, être sans emploi ne signifie pas pour autant être demandeur d’emploi. il n’est donc pas nécessaire de justifier d’une inscription à l’anpe pour être recruté comme adulte-relais. peuvent donc être recrutés des chômeurs, inscrits ou non à l’anpe, des inactifs ou des personnes exerçant des activités à temps très partiel. cette condition doit être appréciée avec souplesse. par ailleurs, les personnes titulaires d’un contrat “emploi solidarité” (ces) ou d’un contrat emploi consolidé (cec) sont certes titulaires d’un contrat de travail, mais ceux-ci visent un objectif d’insertion professionnelle pour des personnes rencontrant des difficultés d’accès à l’emploi. ces personnes peuvent donc bénéficier de postes d’adultes-relais. doit-on avoir sinon embauché, du moins avoir déjà trouvé l’adulte-relais au moment du dépôt du dossier ? en aucun cas l’adulte-relais ne doit avoir été embauché avant la signature de la convention avec le préfet. rien n’oblige l’organisme employeur à l’avoir déjà repéré au moment du dépôt de son dossier, même si c’est sans doute préférable. en effet, c’est bien souvent parce que l’on aura déjà remarqué les capacités d’une personne qu’un projet verra le jour. doit-on fournir les contrats de travail signés au moment du dépôt du dossier ? le contrat de travail ne doit surtout pas être signé. il créerait immédiatement un lien juridique entre l’employeur et le salarié, alors que la convention pour le financement de l’etat n’est pas encore signée elle-même. si l’aide de l’etat n’était pas attribuée, l’organisme se trouverait face à une situation délicate : un salarié avec un contrat exécutoire et l’impossibilité de le payer. le ou les contrats de travail sont à fournir après la signature par le préfet de la convention “adulte-relais”. qui paie les adultes-relais ? les employeurs des adultes-relais qui ont conclu avec eux un contrat de travail. qui verse l’aide de l’etat ? l’aide de l’etat est versée par la trésorerie générale de région à l’organisme employeur de l’adulte-relais. du côté des adultes-relais… marie-christine faubert un relai avec les institutions quand on demande à marie-christine faubert quelle satisfaction elle retire de son travail d’adulte-relais, elle répond tout simplement « ça m’apporte tout. ». et elle ajoute même qu’elle n’a pas l’impression de travailler. pourtant cette jeune retraitée de 52 ans ne se ménage pas. depuis septembre, dans le cadre de l’association “le club des chardons” d’asnières-sur-seine, elle accompagne les familles dans leurs démarches administratives, les aident dans leurs rapports aux différentes instances, caisse d’allocation familiales, mairie, école, bailleurs etc. et la demande dans le quartier des courtilles, qu’elle habite elle-même, est importante au point que les 28 heures qu’elle consacre à sa mission ne sont pas suffisantes. c’est par le biais du bénévolat que marie-christine faubert est arrivée à ce poste. il y a un an, elle aidait, en effet, les enfants -toujours dans le cadre de cette même association- dans leurs devoirs. une activité qu’elle n’a pas interrompue en dépit de ses nouvelles fonctions et qui, par ailleurs, lui facilite la tâche. « dans la mesure où je travaille avec les enfants, les familles me connaissent, explique-t-elle. quand elles ont un problème, elles savent où me trouver. » cette femme qui dit « aimer rendre service » reconnaît cependant que pour faire ce travail, il faut être patiente car « cela prend du temps pour installer la confiance » et très disponible. « il faut accepter d’être dérangée. je donne le plus souvent mon numéro de portable. » les satisfactions sont cependant immenses quand on obtient des résultats. et marie-christine faubert de citer l’exemple tout récent de ce bailleur qui a accepté de rénover un pavillon habité par une famille africaine et qui était dans un état épouvantable. « il y avait dix ans que rien n’avait été fait et il était vraiment vétuste. il nous a fallu deux mois pour obtenir que des fonds soient débloqués d’urgence. » même si tout se passe plutôt bien, marie-christine faubert reconnaît qu’il y a matière à amélioration. elle souhaiterait ainsi qu’il y ait pour les adultes-relais davantage de formation. « même si on travail en équipe, dit-elle, avec les assistants sociaux, la caf, la mairie, ces gens-là sont souvent débordés. et on aurait besoin souvent, quand on doit se débrouiller seul, de connaître un peu mieux certaines lois. » une formation que marie-christine demandera prochainement et espère bien obtenir. maria aaziz le lien entre les familles et l’école pour maria aaziz, 50 ans, femme-relais au collège edouard manet à villeneuve-la-garenne, tout paraît simple et évident : son engagement au collège, le contact avec les familles et des résultats plutôt encourageants. elle explique simplement qu’il faut « avoir de la patience, être attentif, écouter, sourire. » maria aaziz, qui travaille par ailleurs comme agent de prévention à la vavu (villeneuve animation et vie urbaine), a elle-même proposé d’intervenir au collège. « j’ai trois enfants, dit-elle, dont un encore scolarisé et je voyais bien les difficultés des familles pour entrer en relation avec l’école. » des familles en majorité maghrébines et africaines que maria aaziz connaît bien puisqu’elle habite le quartier depuis treize ans. « je suis en plus, dit-elle, d’origine espagnole et mariée à un marocain. ca m’aide pour comprendre tout ce qui touche à la mixité culturelle. » son rôle ? accompagner les parents qui sont convoqués au collège pour des problèmes concernant leurs enfants. sans elle, ils ne se déplaceraient pas. « ils n’osent pas, explique-t-elle, et il faut les rassurer. » maria est là aussi pour expliquer que parfois un redoublement est indispensable. elle est là encore dans les cas difficiles, quand des élèves par exemple passent devant le conseil de discipline. maria aaziz ne fait peut-être pas de miracles mais les résultats sont probants. d’ailleurs un collège proche a décidé de suivre l’exemple d’edouard manet et de demander lui aussi l’aide d’un adulte-relais. il faut dire que les besoins sont importants et maria qui travaillait à temps partiel va passer à 35 heures. fermement persuadée de l’importance de sa mission, maria aaziz insiste sur le fait qu’il faut que le dispositif se poursuive. « j’espère que ça va continuer, dit-elle. il ne faut surtout pas que ça s’arrête. » christine deris de la prévention autour de la toxicomanie amener la parole, établir un diagnostic sur les produits qui circulent, faciliter l’accès aux soins, faire de l’accompagnement, de la médiation sociale et tout cela en collaboration avec des infirmiers, des assistants sociaux, voilà grossièrement décrite la mission de christine deris, adulte-relais intervenante en prévention santé dans le 1er arrondissement de lyon. c’est dans le cadre de “ruptures” une association qui s’occupe de problèmes de toxicomanie que christine deris travaille depuis 1985. et c’est son passé de militante, selon elle, qui explique son implication sur le territoire de la croix rousse, « un quartier qui a toujours bougé et riche aussi au niveau associatif. » mais christine deris intervient aussi à la duchère et à rilleux-la-pape. même si le nouveau dispositif n’a pas changé grand chose pour elle, elle reconnaît cependant qu’il permet tout de même de consolider des fonctions, de « caler les choses. » sur le terrain maintenant depuis un certain nombre d’années, comment christine deris juge-t-elle la situation ? on constate, selon elle, une amélioration dans certains domaines, comme l’accès aux soins, la prévention du virus hiv, mais il reste un point noir, c’est le logement. « ca me décourage, dit-elle. on dirait qu’il n’y a pas là de véritable volonté. » par ailleurs, comme beaucoup d’autres, elle souligne le besoin de formation. « on n’a pas assez de temps pour réfléchir et mettre au point des modèles. » abdelhak yassine le relais pour retrouver du travail « il y a une chaleur humaine. on rencontre des gens passionnants. et quand un père de famille vient me remercier parce qu’il a trouvé un contrat de travail, j’ai envie de pleurer avec lui. » c’est ainsi qu’abdelhak yassine, adulte-relais depuis un an dans le cadre d’un plie à gennevilliers parle de son travail. un travail qui consiste, dans deux quartiers sud de gennevilliers - les grésillons et chandon brenu - à servir de relais avec les institutions pour des habitants en difficulté mais aussi à essayer d’imaginer un parcours d’insertion pour aider à retrouver du travail. « en fait, explique-t-il, il s’agit là encore de faire le lien avec les structures d’accueil, les missions locales, l’anpe, les clubs de prévention pour faciliter la recherche d’un travail ou d’une formation. souvent je me déplace et je reste en contact aussi avec les conseillers pour suivre le cheminement des jeunes notamment. » pour eux, reconnaît abdelhak yassine, c’est plus facile, même s’il ne fait pas de miracle, de trouver des contrats de qualification ou des emplois jeunes. pour les adultes, en revanche, les contrats sont plus rares et plus précaires, souvent de six mois seulement. pour accomplir sa mission, abdelhak yassine, d’origine marocaine, arrivé en france à l’âge de 22 ans, a plusieurs atouts. il a toujours habité le quartier - il s’est occupé des jeunes qu’il connaît parfaitement - et a, en outre suivi une formation très concrète pour se familiariser avec les services et les différents partenaires. pour lui, les problèmes les plus cruciaux qui se posent actuellement dans les deux quartiers dans lesquels il tient une permanence concernent le logement et aussi la santé, « tous âges confondus » précise-t-il. il reconnaît, cependant, que beaucoup a été fait ces dernières années et qu’aujourd’hui, sans se montrer trop optimiste, il y a davantage de possibilités et d’offres notamment au niveau du travail. « j’ai commencé dès mon arrivée en france, raconte-t-il, par faire de l’animation auprès des enfants pour financer mes études et j’ai attrapé le virus, celui du militantisme social. » depuis ce temps là, abdelhak yassine, âgé aujourd’hui de 47 ans, n’a cessé de s’investir dans son quartier s’occupant des jeunes, donnant des cours d’alphabétisation, exerçant des missions d’insertion. c’est ce qui lui a permis d’acquérir cette maturité, ce recul nécessaire, selon lui. il insiste aussi sur l’importance d’apprendre aux gens à se prendre en charge. au jeune notamment qui vient le voir et lui demande ce qu’il peut faire pour lui, abdelhak yassine commence toujours par lui renvoyer la question. « et toi, qu’est-ce que tu fais pour toi ? » mais il ajoute aussi qu’avant tout, le principe de base, c’est de respecter les gens et quelque soit leur situation. © div - janvier 2002 rédaction : marion desjardins photo : le bar floréal / hervé dez   en savoir plus les adultes relais : premiers éléments d’évaluation - édité par la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (dares) - février 2003 (pdf - 7 pages - 76 ko) adultes relais - un lien dans la ville - édité par la délégation interministérielle à la ville - février 2002 (pdf - 16 pages - 780 ko) conclusions de yvon robert, président du groupe de travail interministériel sur les emplois dits de médiation sociale - juin 2001 (pdf - 21 pages - 80 ko) une nouvelle ambition pour les métiers. rapport remis au ministre délégué à la ville. claude brevan/paul picard. paris : la documentation française - septembre 2000. (pdf - 178 pages - 416 ko) circulaire du 26 avril 2000 relative ˆ la mise en œuvre du dispositif des adultes relais dans le cadre de la politique de la ville (pdf - 22 pages - 96 ko) les documents “adultes relais” avec i.ville.gouv.fr adultes-relais - editions de la div - collection repères - janvier 2001 médiation sociale : séminaire européen organisé à créteil du 21 au 23 septembre 1999. dossier du programme - supplément à la lettre de la div n°60, septembre / octobre 2000 sites préfecture des bouches du rhône http://www.bouches-du-rhone.pref.gouv.fr/vous/assoc/aide/aide2.cfm a lire la médiation sociale et culturelle à paris - paris : ville de paris, préfecture de paris, fas, drtefp, délégation régionale aux droits des femmes, décembre 1999. femmes relais : quelle place dans l’intervention sociale ? - paris. profession banlieue, novembre 1999 contacts div tél. : 01 49 17 46 71

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